
il est des jours où l'on se croirait en enfer dans ce paradis sur terre. Je m'explique: il est des matins ou plutôt que mettre le nez dehors, d'aller footinguer dans les prés, on ferait mieux de fumer une cartouche entière de Malboro, ou encore de s'enfermer dans une raffinerie de l'Etang de Berre, tant entre ciel et terre, dans le royaume de la mer, l'atmosphère est confinée. La radio du petit déjeuner me rappelle que la vitesse des voitures est ralentie, en raison d'une forte pollution à l'ozone, dans les Bouches du Rhône. Pauvres bouches qui ont du mal à respirer. Camargue on va te noyer!